On vous explique en détails l'astuce de Soeur Angèle, qui pourrait bien tout changer à votre souper de Noël!
À rebours des pratiques traditionnelles, Sœur Angèle explique que cette technique permet à la partie la plus charnue de la volaille de toucher directement le jus de cuisson.
Le principe est simple: laisser la viande absorber l’humidité plutôt que de la laisser couler. Le résultat est une dinde plus juteuse, plus tendre et plus appétissante, confirme-t-elle.
«Votre dinde ne sera pas aussi belle, mais pour la manger, c’est mieux qu’elle soit à l’envers», ajoute Sœur Angèle sur les ondes de QUB radio au 99,5 FM Montréal vendredi.
En effet, cette technique de cuisson n’assurera pas le teint doré et croustillant des volailles que l’on peut apercevoir dans les magazines.
La peau agit comme rempart naturel contre le dessèchement. Contrairement à ce que l’on pourrait croire, il ne faut pas l’enlever avant de la trancher. Sœur Angèle suggère même de verser le jus de cuisson directement sur la peau, juste avant le service, afin de bien nourrir la chair.
Un des secrets d’une dinde réussie se trouve aussi dans la farce. La recette de Sœur Angèle laisse une place importante aux légumes, en plus du traditionnel pain. Carottes, céleris, oignons en bottes auxquels s’ajoute de la viande, pour offrir une texture plus dense. Le tout relevé de thym, de romarin, de citron et de vin blanc, énumère-t-elle.
Pour ceux qui ne sont pas friands de dinde, Sœur Angèle propose d’autres alternatives pour un temps des Fêtes gourmand: du canard, de l’oie ou encore un bon rôti de porc!

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